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Les aides

8 décembre 2017

Les aides légales


Aides au Transport

PASS TCL à tarif réduit :

  • PASS TCL 2 Partout pour les bénéficiaires du Revenu de Solidarité Active « socle » à 8,40 €
  • PASS TCL S Partout pour les personnes qui perçoivent de faibles ressources (ressources entre 500€ et 900€ par mois pour une personne seule sans enfant à charge) à 16,80 €

Revenu de Solidarité Active

L’instruction du Revenu de Solidarité Active peut être réalisée sur rendez-vous auprès du Centre Communal d’Action Sociale de Francheville pour les personnes seules ou en couple sans enfant mineur à charge.

Pour les couples avec enfant(s) mineur(s) à charge, l’instruction doit être effectuée par un travailleur social de la Maison du Rhône de Francheville.

Pièces à fournir pour l’instruction


Aides aux logement 2025

Type d’aide, montant, conditions d’éligibilité, zoom sur toutes les aides au logement auxquelles vous pouvez prétendre en 2025. comparateur-ade.com

Les aides facultatives


Conditions d’attribution

  • être en mesure de présenter des documents attestant de son identité et de sa composition familiale (livret de famille)
  • fournir des justificatifs de ressources et de charges courantes
  • rencontrer le travailleur social de la Maison du Rhône ou du CCAS en fonction de sa situation familiale lors d’un entretien approfondi (condition sine qua non)

Ces aides peuvent concerner :

  • des besoins alimentaires
  • l’aide au paiement d’une facture de loyer ou d’énergie
  • l’aide au paiement d’une assurance obligatoire
  • l’aide au paiement de frais médicaux ou la mise en place d’une mutuelle
  • etc.

Les situations sont étudiées au cas par cas en fonction du reste à vivre des personnes, par la commission permanente des aides facultatives du Centre Communal d’Action Sociale.

Accès aux vacances pour tous : les soutiens associatifs et les aides complémentaires pour les publics en précarité 


Partir en vacances reste un luxe pour beaucoup, alors même qu’il s’agit d’un moment essentiel de repos, de découverte et de reconstruction personnelle. Pour de nombreuses personnes en situation de précarité comme les familles monoparentales, les jeunes en insertion, les travailleurs pauvres, les personnes isolées ou sans emploi, l’idée d’un départ semble souvent hors de portée. Pourtant, plusieurs associations caritatives, collectivités et organismes sociaux mettent en place des dispositifs spécifiques pour que les vacances soient accessibles à tous, quels que soient les revenus. Des structures comme le Secours Catholique, la Croix-Rouge française, Vacances Ouvertes ou le Secours populaire organisent ainsi chaque année des séjours collectifs à destination des publics fragilisés. Ces séjours, souvent proposés pendant les vacances scolaires ou l’été, permettent aux familles et individus de se reposer dans un cadre sécurisé, de rompre l’isolement et de profiter d’un moment de répit loin des difficultés du quotidien.

En complément de ces actions, des aides financières spécifiques sont également mobilisables via la Caisse d’Allocations Familiales (CAF), notamment à travers le dispositif des Aides aux Vacances Familiales (AVF). Ces aides s’adressent aux familles allocataires ayant un quotient familial inférieur à un certain seuil, et permettent de bénéficier d’une prise en charge partielle du coût des vacances dans des structures agréées. Certaines CAF régionales proposent également des bons vacances ou des partenariats avec des centres de vacances labellisés. Dans ce contexte, certaines offres d’hébergement touristique à tarif abordable, comme celles proposées sur Sowell.fr, s’avèrent particulièrement adaptées pour des séjours en pension complète à la montagne. Des territoires comme les Alpes du Nord ou les Alpes du Sud, offrent un large choix de destinations alliant nature, culture et accessibilité, idéals pour des vacances reposantes en altitude.

Par ailleurs, de nombreux dispositifs locaux ou associatifs viennent renforcer cet élan : les missions locales pour les jeunes, les CCAS (centres communaux d’action sociale) pour les foyers modestes, ou encore les initiatives comme « Départ 18:25 », co-financé par l’État, qui permet aux 18-25 ans de bénéficier de séjours à tarif réduit. Pour les personnes accompagnées par une assistante sociale ou un acteur de l’insertion, le programme « Vacances Ouvertes » offre également un accompagnement personnalisé à la construction du séjour, avec la possibilité de mobiliser des aides au financement.

Ces actions, complémentaires aux programmes publics comme les Chèques-Vacances de l’ANCV, contribuent à faire des vacances un droit et non un privilège. Les collectivités, les mairies et les associations de proximité jouent un rôle central pour orienter les habitants vers ces aides, informer sur les démarches, et parfois même cofinancer certains départs. Faciliter l’accès aux vacances, c’est agir pour le bien-être, l’inclusion et la dignité, et cela reste possible, même avec des revenus modestes, grâce à un réseau d’acteurs solidaires qui œuvrent dans toute la France, et tout particulièrement dans des régions dynamiques comme Auvergne-Rhône-Alpes, où l’offre de séjours accessibles continue de se développer.


Mon soutien psy : un dispositif central pour renforcer la santé mentale 

La progression constante des troubles psychiques au sein de la population impose une réponse publique forte et structurée. Stress chronique, pression financière, précarité, isolement social : autant de facteurs qui, cumulés, fragilisent l’équilibre émotionnel et favorisent l’apparition de symptômes anxieux, dépressifs ou psychosomatiques. Pour répondre à cette situation préoccupante, l’Assurance Maladie a lancé Mon soutien psy, une initiative qui rend la psychothérapie plus accessible en levant l’un des freins majeurs : la barrière financière.

Le dispositif s’adresse à toutes les personnes majeures orientées par un médecin. Il prévoit jusqu’à huit séances de psychothérapie totalement remboursées, avec une prise en charge pouvant atteindre 60 euros par séance. Cette mesure supprime le coût comme obstacle principal et encourage un recours plus précoce aux soins. Plutôt que d’attendre une situation critique, les individus peuvent consulter dès les premiers signaux de souffrance tels que la perte de motivation, les troubles du sommeil, la fatigue psychique ou les difficultés relationnelles. Cette réactivité favorise une meilleure prévention et limite la chronicisation des troubles.

Ce programme joue également un rôle de démocratisation. En valorisant la psychothérapie comme un soin à part entière, il contribue à réduire la stigmatisation qui entoure encore la santé mentale. Consulter un psychologue n’est plus perçu comme un signe de faiblesse, mais comme un acte de prévention responsable et intégré au parcours global de santé. La confidentialité des échanges, le professionnalisme des praticiens et la gratuité effective des séances renforcent la confiance et permettent d’instaurer une relation thérapeutique stable, facteur clé d’efficacité.

Au-delà de l’aspect individuel, Mon soutien psy a un impact collectif. Il incite les médecins à repérer plus tôt les troubles psychologiques et à orienter les patients vers des solutions adaptées. Ce dispositif encourage aussi une vision plus globale de la santé, où le bien-être mental est considéré comme aussi fondamental que la santé physique. C’est un pas vers une approche intégrée qui associe prévention, accompagnement et suivi.

Toutefois, même avec un accès facilité aux soins, certaines personnes vulnérables cherchent encore des échappatoires à leur mal-être. Les jeux d’argent en ligne en sont un exemple frappant. Ces plateformes séduisent par leur promesse de divertissement et de gains rapides, mais elles comportent des risques importants. L’un de leurs leviers les plus attractifs est le bonus casino, présenté comme une opportunité avantageuse, mais qui incite souvent à jouer plus que prévu. Derrière ces offres promotionnelles se cache une mécanique addictive qui alimente l’illusion de contrôle et peut mener à un cercle vicieux de pertes financières et de dépendance.

Ces pratiques posent d’autant plus problème qu’elles s’inscrivent dans un environnement numérique en pleine expansion, souvent faiblement régulé. Les plateformes de jeu exploitent les failles psychologiques des utilisateurs en période de fragilité, rendant la frontière entre distraction et addiction de plus en plus floue. L’impact peut être lourd : aggravation de l’isolement, endettement, baisse de l’estime de soi et détérioration des relations sociales et familiales.

Pour contrer ces risques, la prévention et l’éducation sont essentielles. Des acteurs spécialisés comme Investx apportent une contribution précieuse en décodant les stratégies commerciales des opérateurs de jeu, en expliquant les mécanismes psychologiques mis en œuvre et en alertant sur les dangers des promotions trompeuses. Leur travail permet de sensibiliser les publics exposés, de renforcer l’esprit critique et de donner des clés pour résister aux incitations constantes à jouer.

En combinant l’accessibilité aux soins psychologiques de qualité grâce à Mon soutien psy et une politique active de prévention des addictions, il devient possible de créer un cercle vertueux. Cette approche globale agit simultanément sur les causes profondes de la souffrance et sur les comportements à risque qui en découlent. Elle ne se limite pas à traiter les symptômes mais vise à instaurer un mieux-être durable, en offrant à chacun des ressources concrètes pour reprendre le contrôle de sa vie émotionnelle.

Ainsi, la santé mentale peut progressivement être reconnue comme une priorité collective. Investir dans des dispositifs comme Mon soutien psy, tout en renforçant la vigilance face aux comportements de compensation dangereux, c’est poser les bases d’une société plus résiliente, capable de protéger les plus fragiles et de promouvoir un équilibre psychologique pour tous.